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A propos de nous

Notre équipe de bénévoles
et correspondants au Mali 

Participants-20
AllayeKarembePortrait

Correspondants locaux

En quarante ans, nous avons eu 3 correspondants. Le premier fut Anagaly Ogobara Dolo qui après de nombreuses années de suivi des projets a laissé la place à son jeune frère Sékou Ogobara Dolo qui a repris le flambeau pendant plus de 15 ans. Allaye Karembé, après avoir œuvré sur plusieurs de nos projets, a naturellement pris le relai.

Bénévoles

La population locale, attachée à l’idée d’amélioration durable des conditions de vie de leur communauté, nous offre un partenariat particulièrement solide depuis 40 ans !

Donateurs

Les membres actifs et les donateurs sont généralement des personnes qui ont été particulièrement touchées par la gentillesse et le dénouement dans lequel vit la population dans cette partie du Mali.
Apprendre a nous connaitre

Construisons demain ensemble

Présente depuis plus 40 ans au pays Dogon – Mali. Parcourez l’histoire du Comité, sa philosophie et son mode d’intervention.

L’association a été fondée en 1982 par Anne-Marie Gillet alors que sévissait au Sahel une sécheresse sévère. L’association a été agréée par la Fondation de France de 1987 à 2010. Nous sommes une Organisation Non Gouvernementale, apolitique et non confessionnelle.

Son objet : Travailler avec les populations du pays Dogon à l’amélioration de leurs conditions de vie en particulier à Sangha et au Pays Dogon.

En fait, nous travaillons en collaboration avec d’autres ONG ayant des compétences particulières : Association Plaisir Jeunesse, AFRICA, Missions et Développement…

En concertation avec les responsables locaux et les villageois, nous essayons de soutenir les besoins exprimés en matière d’approvisionnement en eau, d’éducation, de santé…

Vous trouverez ci-dessous un extrait d’un article de l’Yonne Républicain (2017) expliquant la fondation de l’association.

« En 1981, l’ancienne conseillère d’éducation populaire et de jeunesse et nouvellement retraitée part en voyage organisé au Mali. Durant son périple, elle passe trois jours à Sangha, dans la région du Pays Dogon, au sud-est du pays, vers la frontière avec le Burkina Faso. « Elle a été frappée par les difficultés et le dénuement dans lequel vivait ce peuple. Une fois de retour, elle a donc voulu agir et a créé le comité d’aide à Sangha et au Pays Dogon. » Les archives de la mairie témoignent de son action : « Groupant autour de moi quelques amis de Cheny, j’ai créé une association et le comité a évolué petit à petit… Il s’est agrandi et nous avons organisé des manifestations pour gagner de l’argent au profit de Sangha. Nous avons pu envoyer des médicaments, des vêtements, des livres et des fournitures à l’école. » Ce discours a été prononcé par Anne-Marie Gillet lors de la cérémonie de création du jumelage entre Sangha et Cheny, le 13 décembre 1984. « Maintenant, après cet acte important de jumelage, je pense que nous pouvons faire beaucoup plus et beaucoup mieux », espérait-elle alors. »
Interview de Anne-Marie Gillet
Extrait du journal L'Yonne Républicain

Sangha - Pays Dogon

Sangha se situe dans la région du Pays Dogon, au sud-est du pays, vers la frontière avec le Burkina Faso.

Avec les Dogon, travailler à l’amélioration de leur vie, telle est notre ambition. Pratiquer une solidarité seule capable de préserver les traditions et l’organisation sociale de la communauté, respecter un patrimoine reconnu de valeur universelle par l’UNESCO.

Alors que depuis plus de 40 ans, nous travaillons avec la population de la région pour faciliter l’accès à l’eau, aux soins, à l’éducation, pour accompagner l’économie familiale avec l’implantation de périmètres maraîchers, et dernièrement pour permettre aux femmes déplacées d’accéder à des cours de couture, il ne nous est plus possible d’utiliser les subventions publiques auxquelles nous pouvions prétendre en faveur d’actions au Mali.
Le premier réflexe serait sans doute de jeter l’éponge et de suspendre toutes formes de collaborations. Mais, si nous prêtons attention aux informations qui nous proviennent du terrain, d’autres enjeux viennent complexifier la situation… Et les bénévoles du comité ont tous ressentis cet effet miroir que nous avions déjà constaté en 2016 lors de l’organisation de la manifestation intitulée Notre Terre : la déperdition de surfaces agricoles, la lutte des paysans pour garder leur terre, la protection des graines et récoltes face à l’utilisation de substances chimiques, la disparition de certaines espèces directement liées au commerce des graines…

De part et d’autre de la Méditerranée, nous sommes impactés par les mêmes conflits d’intérêt, les mêmes conflits économiques.

À présent, si ce constat perdure, il se complexifie car il touche aux traditions, à la culture, à nos modes de vie. Les Dogon doivent faire face à cette lente et progressive disparition de leur tradition. Sans doute la spécificité de la « culture dogon » est sa richesse, la complexité des rituels, mais aussi la beauté des masques, leurs pouvoirs… Au fil des ans, nous avons pu constater la vie en symbiose avec la nature, tout en restant conscients des difficultés rencontrées par la population.

Cet effacement progressif de ces traditions nous renvoie à nos propres combats pour préserver notre singularité. L’économie de marché tend à uniformiser les spécificités culturelles de chacun de nous. Face à cette situation, le pays Dogon dans ses combats et résistances nous invite à poursuivre notre soutien. Restons inventifs, nous allons trouver des solutions financières. Ce combat est aussi le nôtre. Ce qui disparaît d’un côté de la Méditerranée permet et promet une désertification culturelle en Europe.
Cette expression prononcée avant de nombreux rituels collectifs Ba Turu, Na Turu :
« Nous sommes du même père et de la même mère, nous sommes unis », nous rappelle si cela est nécessaire que notre engagement est fondamental.

Le clivage entre ici et ailleurs n’a plus de sens, nous sommes solidaires et le comité d’Aide demande à ses lecteurs, à ses donateurs de poursuivre leur soutien afin que nous puissions soutenir notre culture, notre terre.
Ba Turu Na Turu.

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l'histoire a débuté en
membres du conseil

Notre équipe

Evelyne Evin

Cristian Faure

Michel Fortin

Marie-Claire Hamon

Fred Salvi

Yannick Vanpoulle

Nadine Wanono

En France, pas de structure, ni de personnel permanent. Le conseil d’administration se réunit en moyenne 6 fois par an, et les membres bénévoles assurent le fonctionnement de l’association.

Nos adhérents et donateurs sont tenus informés deux fois par an de nos actions par notre newsletter :  vous abonner

Point important pour les relations d’amitié, de confiance et connaissance réciproque tissées depuis 1982 entre les Dogon et nous-mêmes.

DES MISSIONS SONT ACCOMPLIES PAR CERTAINS DE NOS MEMBRES ACTIFS. ELLES PERMETTENT LE SUIVI DES ACTIONS ENTREPRISES ET L’ÉTABLISSEMENT DES PROGRAMMES FUTURS AVEC LA POPULATION. (Transport et séjour à la charge des personnes volontaires). Depuis 2012, il est devenu très compliqué d’aller sur le terrain. Nous échangeons régulièrement par WhatsApp avec notre correspondant et ponctuellement nous nous retrouvons à Bamako.

Excepté les frais de secrétariat (courrier essentiellement), l’argent COLLECTÉ (dons, subventions, animations) EST ENTIÈREMENT UTILISÉ AU FINANCEMENT DES PROGRAMMES.

Nos correspondants

Correspondants au Mali

Les membres actifs

Les membres du Comité d'Aide à Sangha

Les donateurs

Les donateurs - particuliers

Les partenaires en France

Entreprises - Organisations
Ce que nous réalisons

Plus de 40 ans de collaboration avec les populations du Mali, nous...

Fred Salvi

Président de l’Association Comité d’Aide à Sangha et Pays Dogon

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